Timothy H.

Les écrivains québécois ont peur que leur province soit anglicisée s'elle est autorisée de continuer d'être une partie du Canada. Le premier écrivain séparatiste populaire s'appelle Jules-Paul Tardivel. En 1895, il écrit Pour la Patrie, un roman qui concerne une conjuration par les anglophones d'assurer l'assimilation éventuelle du peuple français; c'est une des premières fois qu'un morceau de littérature conteste l'idée du Canada unifié. En 1948, Paul-Émile Borduas écrit Refus Global, qui inspire la littérature surréaliste, comme La Guerre, Yes Sir!, écrit en 1968 par Roch Carrier pendant la révolution tranquille. Les textes surréalistes sont généralement dévoués à attaquer le gouvernement du Québec pour son positionnement au service des anglophones. Après le mouvement séparatiste gagne de la vitesse pendant les deux référendums, Jacques Godbout écrit Le Couteau sur la table et d'autres romans dans lesquels il demande que le Québec agir rapidement contre ses oppresseurs; il espère que ses écrits vont convaincre les québécois de voter pour la séparation. Finalement, dans la période moderne, après les séparatistes perdent de la vitesse, les auteurs continuent la cause avec les textes comme Octobre 1970 par Louis Hamelin, dans lequel il insinue qu'une conjuration du gouvernement canadien a interféré avec la crise d'octobre en 1970. Tous les textes des séparatistes contiennent les thèmes d'oppression des québécois, et tous essayer de convaincre le public que le Québec doit être indépendant.

Question: Qui est un des premiers écrivains séparatistes, comment s'appelle son roman et de quoi parle-t-il dans ce roman ?
Réponse: C'est Jules-Paul Tardivel qui écrit Pour la Patrie, un roman qui proclame que les Canadiens français seront assimilés par les Anglais s'ils ne se séparent pas du Canada.

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